Créée en 2002, par la volonté du défunt président, Omar Bongo Ondimba, la Caisse nationale maladie et de garantie sociale (Cnamgs), s’inscrivait dans le cadre de la réforme du système gabonais de protection sociale initiée par le Gouvernement de l’époque. Après un constat. Le risque maladie avait été identifié, parmi tant d’autres, comme celui qui préoccupait le plus les Gabonais. Cette conclusion fut confirmée par des experts internationaux qui, à la demande du défunt Chef de l’État, Omar BONGO ONDIMBA, avaient aussi réalisé, en 2004, une étude de faisabilité d’une assurance-maladie obligatoire et universelle au Gabon. Il faut toutefois rappeler qu’au début de la réflexion, il avait été envisagé la gestion de l’assurance-maladie par les organismes existants à cette époque. Notamment
La Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS) pour les salariés du secteur privé et la Caisse Nationale de Garantie Sociale (CNGS) pour les agents de l’État et les personnes économiquement faibles.
Aujourd’hui, cet instrument cher au Président Ali Bongo Ondimba, fonctionne tant bien que mal. L’oeuvre humaine n’étant parfaite.
Dans les années antérieures, l’on a noté l’existence d’une gabegie financière et des recrutements fantaisistes, des éléments qui ont concourent à la mise sous de dépôt de l’ex directeur de cette institution, Allogo Akue.
Au regard des éléments en notre possession, la cnamgs semble se porter mieux à la suite des réformes engagées par l’actuelle Direction générale. Notamment la revalorisation de la récompense à la médaille du travail, le paiement de la prime de productivité à l’ensemble du personnel, la mise en place de la prime d’accompagnement à la mobilité des agents, l’élargissement de la prime de recouvrement à d’autres direction et implémentation sur les bulletins de paie, le répertoire des emplois et des compétences, la digitalisation de l’évolution de la performance annuelle par la mise en place de l’application EVA, la mise en place d’une campagne d’évaluation du personnel après 4 ans d’absence et le changement du logiciel de paie.
Des réalisations à mettre au crédit des nouvelles autorités de l’entité.
On note aussi entre autres, la mise en place du Comité de Sécurité et de Santé au Travail (CSST) en application des dispositions du Code du Travail. Il aura pour mission de gérer toutes les questions liées à la lutte, à la prévention des accidents du travail, des maladies professionnelles et de mettre en place les outils relatifs à la sécurité et à la santé au travail.
Les intérêts des travailleurs ne sont pas. On parle du renouvellement des Délégués du Personnel. Le reclassement du personnel, l’accès à la propriété et le bilan de santé du personnel par l’Hôpital des instructions des armées Omar BONGO ONDIMBA (HIABO) son avenir et en cours de réalisations.
Depuis quelque temps, une cabale est orchestrée à travers les Réseaux sociaux et medias à la solde de quelques aigries tapis dans l’ombre.
La vérité serait tout autre. La cnamgs ne subirait pas d’un problème de management. Les problèmes de la CNSS sont malheureusement dûment induits imputés à la Cnamgs.
On peut désormais conclure à une machination ourdie contre l’actuel DG de la Cnamgs. Alors que ce dernier aurait fait le choix de ne pas renouveler en CDI de près de 173 agents laissés par l’ancien DG.
Alors que l’une de missions était la réduction de la masse salariale, aussi l’assainissement du fichier du personnel, où l’on trouvait des nombreux fonctionnaires en situation illégale. Toute chose qui serait certainement à l’origine de la cabane orchestrée contre le directeur général.