Haut cadre de la République, plusieurs fois ministre, y compris celui non moins enviable du Budget et des Comptes, ce fidèle (au premier degré) du chef de l’État Ali Bongo Ondimba, poursuit, sur le terrain, malgré les coups- bas, la traduction inlassable de la politique de son mentor Ali Bongo Ondimba, chef de l’Exécutif et Clé de voûte des Institutions de la République. A Port-Gentil, où il est l’élu national au 2e arrondissement, il n’a cessé de multiplier des actions au nom de « Ya Ali ».
Apprécié par les Portgentillai, les Marigovéens et même au-delà de l’Ogooué-Maritime pour son altruisme, sa constance et sa facilité à poser des actes sociaux au nom du chef de l’État, lui vaut des inimitiés. En effet, sa propension qui était devenue insupportable aux yeux de « BLA » et ses boys, lui aura valu bien des « humiliations ». La première, il est débarqué, mais improprement, par Brice Laccruche Alihanga du comité permanent du bureau politique du PDG. Quoique porté là à la suite d’un congrès. Instance pourtant habilitée. Il y eut ensuite son débarquement du ministère du Budget et des Comptes publics. BLA le fit remplacer par son « beau-père » M. Owono Mba qui séjourne avec lui à « Sans famille ». En prison. Et l’estocade fut sa sortie du gouvernement pour le remplacer par tout au plus une fille a papa. Autant d’affronts et d’offenses pour un seul crime commis : la fidélité sans faille à un homme d’État : Ali Bongo Ondimba dont il porte incontestablement l’ADN politique.