Le premier ministre Chef du gouvernement, Julien Nkoghe Bekale a brillamment répondu aux questions de notre consoeur Ngalibika de Gabon 24. Tout à été dit sans langue de bois.

A l’analyse des propos des téléspectateurs , l’on peut recentir de la satisfaction, puisque  la présentatrice n’a fait dans les questionements habituelles.

Des nombreux  sujets ont été abordés et le premier ministre n’hésitait pas à lâcher anecdote sur anecdote. Par exemple :“Tout ce qui se fait, mérite d’être bien fait”, autrement dit, on ne commence pas quelque chose pour avoir le sentiment par la suite de ne l’avoir pas fait comme il le fallait.

Et de poursuivre : ” Nous ne voulons que l’histoire nous marque, mais nous voulons marquer l’histoire “, en d’autres les décisions courageuses sont prises pour qu’elles servent à l’avenir et non pour qu’on parle avec regret.

S’agissant de sa prétendue allégeance à son mentor politique plus qu’au chef de l’État, Julien Nkoghe Bekale répond sans ambages : “Je suis militant du pdg, et, le chef du pdg est Ali Bongo Ondimba.” D’ailleurs, le Natif de Ntoum de lâcher : “J’ai deux moteurs, le plus important est la confiance, si l’on me fait confiance, je fonce.” Alors, si, aussi bien les gabonais que le chef de l’État lui font confiance, l’accélération de la transformation du Gabon pourrait bien devenir bien plus qu’un slogan de campagne mais bien une réalité.

A propos de sa mission à la tête du gouvernement, il ne perdra pas son objectif de vue: “Mon role est de corriger les erreurs du passé“, “Il faut changer de paradigme, tout ne tombe pas du ciel, il faut travailler” poursuivra-t-il. A l’endroit des gabonais, le chef du gouvernement est catégorique : “C’est de notre responsabilité de régler les problèmes des Gabonais. Nous nous battons pour sortir les Gabonais de la précarité”, ce qui expliquerait les sens des réformes engagées. Car selon lui, “C’est de notre responsabilité de régler les problèmes des Gabonais. Nous nous battons pour sortir les Gabonais de la précarité”. Il faudrait dans ces réformes, l’ambition d’assurer la pérennité de notre Nation.

S’agissant du programme GRAINE, le premier ministre se montre optimiste : “J’ai fait le tour du Gabon, j’ai vu des gabonais qui produisent sans l’aide de l’Etat, c’est ceux-là que je veux que l’on accompagne” et rêve d’un pays où plus de gens s’autonomisent sans l’aide de l’État.

Malgré le retard enregistré, l’on peut dire que cette première émission a tenu toute ses promesses. Vivement la prochaine édition.

Source: La source