Le département du Komo Kango est constitué de 3 cantons avec une superficie de 10mille km2, représente à lui seul, la moitié de la province de l’Estuaire. Il compte 71 villages et 25 regroupements de villages. Le projet Olam Palm est basé dans le 2ème canton. Il est impacté sur 7 villages qui représentent 1644 habitants. La mise en place de la plantation d’Awala a attiré des opérateurs économiques. Ceci se ressent par l’émergence des structures économiques dans le département.
Depuis son installation dans le département du Komo Kango, le projet Olam a permis à un millier de jeunes de trouver du travail. Ces recrutements permettent ainsi de réduire le taux du chômage des populations dont la moyenne d’âge varie entre 18 et 30 ans. Au niveau économique, l’on constate une montée vertigineuse des commerces, il y’a une force demande du pouvoir d’achat, le nombre d’habitants a évolué. Il une sorte d’attractivité économique.
Il faut le rappeler, que Kango n’était pas très nanti en matière de structures industrielles, Cette carence a causée un exode rural sans précédent. Se sentant abandonnées, les populations allaient dans les grandes villes à la recherche du travail. Mais, avec l’arrivée d’Olam dans le coin, les populations reviennent petit à petit à Kango. Les habitants sont passés de 1500 à 4000. Aujourd’hui Kango n’est plus sinistré en matière d’activités économiques.
Les autorités administratives et politiques du département ne tarissent pas d’éloges.
« Le projet est visible grâce un partenariat public privé au singapourien Olam international« le député », a affirmé le député du deuxième du Komo Kango.
Le projet satisfait également le président du conseil départemental. Ce dernier salut la présence d’Olam dans le département et souhaite une amélioration graduelle du pouvoir d’achat et les conditions de travail. Souhaitant un partenariat gagnant-gagnant.
Avec les autorités du conseil départemental, Olam a signé un partenariat pour la réalisation des structures sociales, depuis 2014. Plusieurs actions ont déjà été bénéfiques pour les populations. Notamment, la construction de deux dispensaires, les logements d’enseignants, la réfection et la construction des bâtiments dans les écoles.
Pour le préfet, Olam aura changé le coût de vie des populations vivant dans les villages impactés. Leurs habitudes ont également changées. « Ils peuvent désormais boire de l’eau potable grâce à l’installation des pompes hydrauliques. L’éclairage est assuré par les panneaux solaires.